Comment ajuster ses pratiques pour répondre aux besoins variés des apprenants et aux défis imprévus ? Ce podcast donne les clés pour devenir un formateur adaptable et réactif.
Ce printemps, plusieurs dizaines d’organismes de formation et de centres de formation d’apprentis ont été contrôlés par le GIE D²OF concernant le service fait. Témoignages.
Le digital learning a largement contribué à redéfinir les compétences attendues, les trajectoires professionnelles et les modèles d’organisation de la fonction formation. L'édition 2025 du baromètre ISTF sur l'Employabilité et compétences dans le digital learning en dresse une cartographie détaillée : métiers, salaires, enjeux, tout s’accélère. Mais derrière les indicateurs, ce sont les règles du jeu qui changent, et ceux qui n’en prennent pas la mesure risquent de sortir de la partie.
Le Réseau Emplois Compétences (REC), en collaboration avec l’Observatoire national des emplois et métiers de l’économie verte (Onemev), a organisé une réunion thématique dédiée à l’intégration de la transition écologique dans les certifications professionnelles. Retrouvez son replay.
Parmi les chefs d’entreprise comptant au moins un salarié dans leur structure, plus de la moitié déclarent avoir eu recours à l’apprentissage ou au contrat de professionnalisation au cours des dix dernières années, dont près de deux sur dix de manière permanente ou continue. C’est ce qu’indique le dernier baromètre de conjoncture Fiducial des TPE, publié le 7 juillet 2025. Une enquête qui montre que l’opinion des dirigeants à l’égard de ces dispositifs est de plus en plus positive.
Ce podcast explore l'importance des travailleurs de 50 ans et plus. Alors que leur taux d'emploi en France est inférieur à celui de l'Allemagne, il souligne la nécessité d'une meilleure formation continue et de pratiques pédagogiques adaptées pour intégrer pleinement les seniors et enrichir le marché du travail.
Le rapport de la Global Skills Week 2025 éclaire les mutations en cours dans les systèmes de formation, d’enseignement et d’emploi. Il dresse une cartographie dynamique des tendances qui redessinent les pratiques : disparition progressive du critère du diplôme, percée de l’intelligence artificielle dans les processus de formation, reconnaissance accrue des parcours courts et certificatifs, ancrage des compétences dans les transitions écologiques et sociétales. Cette fresque, parfois déroutante, souvent stimulante, mérite d’être relue à l’aune des réalités françaises, où les réformes s’enchaînent mais peinent encore à structurer une véritable stratégie nationale des compétences.
La proposition de loi visant à retranscrire dans le code du travail le contrat de professionnalisation expérimental a été adopté en première lecture par le Sénat le 3 juillet 2025. Ce dispositif ouvre la possibilité aux bénéficiaires de n’acquérir qu’un ou plusieurs blocs de compétences d’une certification pour répondre aux besoins spécifiques des employeurs. Plus de 35 000 contrats ont été conclus sous cette forme entre 2018 et 2023, soit près de 4 % des contrats de professionnalisation.
Un arrêté publié au Journal officiel du 9 juillet 2025 précise les modalités d’accompagnement de la VAE par les architectes de parcours. Il est complété d’un "cahier des charges" qui s’applique à ces accompagnateurs des candidats à une validation, et détaille à la fois les modalités de réalisation de leurs missions et leurs obligations. Ce décret fixe également le modèle du dossier de faisabilité des demandes de validation des acquis de l’expérience.
Un arrêté du 30 juin 2025 porte extension de l’accord du 16 mai 2025 relatif à l’activité partielle de longue durée rebond pour le maintien en emploi des salariés intérimaires.
Premier entretien avec Cécile Jaffré, la nouvelle directrice générale de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme. Entre engagement personnel, priorités stratégiques et mobilisation inédite autour de la jeunesse, elle revient sur les chantiers à venir, le rôle clé de l'Observatoire et l'importance des Centres ressources illettrisme.
La personnalisation portée par l’intelligence artificielle s’impose dans les plateformes de formation. Promesse d’efficacité, elle pourrait pourtant enfermer les apprenants dans des univers trop lisses, où tout confirme et rien ne bouscule. En reproduisant les mécanismes de filtrage des réseaux sociaux, les outils intelligents risquent de priver la formation de sa fonction critique et transformatrice. Bulles cognitives, biais renforcés, alignement excessif : des effets pervers qu’il est urgent d’anticiper, pour préserver la richesse de l’apprentissage… et la performance collective.