L'objectif du tour Emploi Inclusion est de faire évoluer les mentalités et faire grandir la culture de l’inclusion, de la diversité et de l’égalité au sein des organisations privées et publiques du territoire à travers 8 rendez-vous au sein des 8 départements de la région entre le 26 juin et le 20 novembre 2025.
L’année de l’ingénierie 2025-2026 est une opération de médiation scientifique, à destination principalement des enseignants et des élèves, niveau collège et lycée, qui se déroulera tout au long de l’année scolaire 2025-2026. Le lancement institutionnel se fera le 1er octobre 2025 au musée du quai Branly - Jacques Chirac à Paris.
Les projets issus de l’AAP "Dispositifs territoriaux d’orientation vers les études supérieures" (PIA 3) se sont réunis pour une rencontre nationale le 18 juin 2025 à Paris, sur le thème : "Renforcer les synergies pour l’orientation vers le supérieur". Outre la question centrale du poids du portage politique, les participants ont échangé sur le suivi de cohortes afin d’aider au pilotage.
L'Injep a été mandaté pour conduire l’évaluation du plan 1 jeune, 1 mentor, lancé en 2021 et qui vise à proposer à chaque enfant ou jeune qui le souhaite un accompagnement individuel par un mentor bénévole.
Sur fond de montée de la violence dans l'espace public, le Département va lancer Cap jeunesse, un dispositif qui s'adressera aux jeunes du territoire. De nombreux acteurs seront mobilisés pour aller à la rencontre des jeunes et leur permettre d'évoquer de nombreux sujets tels que la santé mentale, l'engagement citoyen, l'accès à la culture, la mobilité ou encore, le logement.
Après un recul marqué durant les décennies passées, une résurgence de l'adhésion à certains stéréotypes est observée chez les jeunes adultes ces dernières années. Dans le même temps, les progrès en faveur de l'égalité entre les sexes sont restés limités, alors que les inégalités nourrissent les représentations genrées. Comment accentuer la lutte contre les stéréotypes d'ici 2030 et quel rôle peuvent jouer les politiques publiques dans les différentes sphères de socialisation des jeunes ? Éléments de réponse.
Alors que 12 % des jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation, Intercommunalités de France appelle à déconcentrer l'enseignement supérieur. L'association formule 16 propositions pour renforcer l'ancrage territorial de la formation post-bac, en misant sur les campus de proximité, les parcours professionnalisants et une gouvernance locale élargie.
La réforme du lycée professionnel a relancé la réflexion autour de la carte des formations professionnelles de niveaux 3 à 5. Le rapport analyse la dynamique initiée en 2023 pour transformer l’offre actuelle, l’adhésion des acteurs aux objectifs fixés et à la méthode préconisée, la pertinence des outils et des leviers mis à disposition. LIRE AUSSI :Simplification, accompagnement ministériel, révision d’Orion… les propositions de l’IGESR pour la carte des formations - AEF info
Le niveau des élèves en mathématiques s’est fortement dégradé au cours des trente dernières années, tant au primaire qu’au collège, les évolutions des compétences en sciences et en compréhension de l’écrit étant moins alarmantes. Point important, la faiblesse relative des élèves français est générale : elle touche les élèves de milieu modeste comme favorisé, les élèves les plus en difficulté comme les meilleurs, les garçons comme les filles.
En 2022, 50 % des apprentis de niveau CAP à BTS sortis d’études un an plus tôt et en emploi salarié privé gagnent moins de 1 622 euros net par mois, en équivalent temps plein, selon une étude de la Dares publiée le 24 juin 2025. Cette rémunération médiane augmente avec le niveau de diplôme, avec une nuance pour les certifications ne relevant pas de l’Éducation nationale. Elle est supérieure pour les apprentis ayant décroché leur diplôme, et ceux qui ont préparé une formation dans le domaine de la production. Elle est aussi plus élevée que celle des non-apprentis.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS sortant d’études en 2022, 74 % occupent un emploi salarié deux ans plus tard, en juillet 2024, dont 5 % dans le secteur public.
Selon l’institut chargé d’analyser la situation des jeunes et les politiques qui leur sont destinées, les motifs de ces ruptures de contrat de manière anticipée sont le plus souvent le résultat d’un "commun accord entre les parties". Elles sont aussi dues au projet professionnel des volontaires, les demandeurs d’emploi mettant fréquemment fin à leur service pour prendre un poste salarié.