La dissolution de la Mife de Belfort, gérée par un syndicat mixte associant le conseil départemental et la ville de Belfort, sera effective le 1er septembre 2025.
Ce jeudi 16 janvier 2025 marque le lancement officiel de l’université Bourgogne-Europe, sous la présidence de Vincent Thomas. Nouvelle identité visuelle et nouvelles ambitions extraterritoriales, un tournant pour l’institution qui veut rayonner sur le plan national et international.
Alors qu'elle était 2e du baromètre Arthur Loyd en 2023, Dijon arrive en tête des villes intermédiaires en France où il fait bon vivre, travailler et étudier. La ville performe dans sa capacité à attirer de nouveaux talents : "La métropole recense une forte croissance démographique des 15-29 ans et une part relativement importante des diplômés". Mais le baromètre relève plusieurs axes d’amélioration, notamment "une plus grande ouverture de ses établissements d’enseignement supérieur aux étudiants en mobilité internationale".
Alors que la Bfc est touchée par une pénurie d'aides-soignants, le Conseil régional a créé de nouvelles places dans les instituts de formation. Il va aussi organiser des journées pour promouvoir la profession et la formation auprès des lycéens.
Pour la première fois, l’école de commerce de Clermont-Ferrand, Clermont School of Business, propose un bachelor d’excellence via un campus connecté. Et c’est à Nevers qu’elle a choisi de lancer ce projet. À la rentrée, vingt étudiants pourront intégrer cette école clermontoise tout en restant à Nevers.
À la rentrée 2026, une première année de médecine sera ouverte à Chalon-sur-Saône (71) , sur un campus décentralisé de l'Université de Bourgogne. Un moyen, pour les élus locaux, de lutter contre la pénurie de médecins.
Vendredi 24 janvier 2025 aura lieu à l'Iut de Dijon le premier Forum cybersécurité et numérique à portée régionale co-organisé par l'Anssi, le Csirt Bfc et la French Tech Bfc.
Lors des questions au gouvernement, le député de la troisième circonscription du Doubs a fait part de ses inquiétudes concernant l’avenir de la R&D de Sochaux-Belchamp et un possible basculement à Turin. La direction locale de Stellantis et le ministre lui ont répondu.
C’est un coup de massue pour les salariés de ce sous-traitant automobile qui travaille à 95 % pour Stellantis. Lundi 20 janvier 2025, la direction a enclenché un plan de sauvegarde de l’emploi (Pse) avec la suppression de 40 postes sur 102.
Dans le bassin de Lons-le-Saunier, une réflexion est en cour sur la valorisation du bois de forêt, engagée par le Clust'er Jura, en lien avec les acteurs de la filière.